Cher visiteur.
Au cas où, vous ne l'auriez pas encore compris, je suis un blog.
J'ai failli être nommé "collision d'idées", "impression", "pensées en mutation" ou même avoir un nom à la con tel que "pensées en collimation". Finalement au dernier instant, on a choisi de m'appeler "brouillard de pensées", car on a trouvé que ce nom me laisserait plus de liberté d'action.
J'aime bien mon nom. Mais j'avoue que je ne sais pas vraiment ce que je vais bien pouvoir faire avec lui : Si l'on m'avait appelé "Le rugby" ou encore "La petite souris" cela m'aurait beaucoup facilité la tache.
On ne s'est vraiment pas cassé la tête, je suis tout blanc et je ne ressemble à rien. je suis brouillard. j'ai comme ossature pour structurer mes pensées, qu'un unique arbre sans fleuilles horriblement sobre. Par conséquent la première chose que je dois faire, c'est rechercher un style, un look, une personnalité, et pourquoi pas une ambition...
Pour me contacter, rien de plus simple, il suffit de me laisser un commentaire.
Allez, je me sauve explorer le web... J'espère rencontrer du monde et comprendre un peu mieux qui je suis.
Global Strike 4 Future
dimanche 16 septembre 2007
Qui je suis ?
A force de chercher, je fait soudain apparaître quelque chose de blanc, de rond, de doux comme un morceau de nuage : Mon blog me plaît : il me dit : "Tu piges ?" et il y a eu ça dans ma tête, mais ça ne peux pas se décrire.
Je fait des efforts désespères pour extraire ce bout de nuage de mon crane et tout à coup que je tombe dedans, la tête la première, je me trouve en pleine buée et devint moi-même de la buée, je ne suis plus qu'une chaleur blanche et humide qui sent le ligne. Je veux m'arracher à cette buée et reprendre du recul, mais elle viens vers moi. Je pense : "C'est moi, je suis dans ma chambre, je suis devant mon ordinateur, j'écris un blog, c'est dimanche." Mais mes pensées fondent en brouillard, blanc sur blanc. Je me secoue et j'essaye de me rappeler ma vie, deux femmes, deux hommes et l'amour. Puis tout à coup, je me dit : "Moi, je suis..."et un léger déclic se produit : je me réveille de ma longue somnolence.
Ça n'était pas agréable : A la place de cette stupeur qui lui était si douce et qui se perdait voluptueusement dans ses propres replis, il y avait maintenant une petite perplexité très réveillée qui se demandait : "Qui suis-je ?"
"Qui suis-je ? Je regarde le bureau, je regarde l'écran. Je ne sais pas, ça n'a pas de sens. Je suis un bon bloggeur. Non. C'est de la frime : un bon bloggeur aime écrire - moi pas. On me dit parfois que j'écris bien, mais je n'aime pas écrire. Je ne déteste pas ça non plus, je m'en fous. Je me fous de tout. Je vais renoncer à créer un blog." je pense avec angoisse : "Il y a toujours en moi cette brume, enroulée sur elle-même, indéfinie. Qu'est ce que je vais faire de ça ?" Un moment passe; je me gratte la joue et cligne de l'oeil gauche parce que ma lampe m'éblouie : "Bingo!" je regarde au loin; les mots sortent de ma tête et puis peut-être que l'on peut deviner quelque chose comme la silhouette sombre d'un arbre dont les branches fuyent à travers la brume. Je frissonne et mes mains tremblent : "Ça y est, ça y est ! J'en suis sûr : J'ai réussit."
Je fait des efforts désespères pour extraire ce bout de nuage de mon crane et tout à coup que je tombe dedans, la tête la première, je me trouve en pleine buée et devint moi-même de la buée, je ne suis plus qu'une chaleur blanche et humide qui sent le ligne. Je veux m'arracher à cette buée et reprendre du recul, mais elle viens vers moi. Je pense : "C'est moi, je suis dans ma chambre, je suis devant mon ordinateur, j'écris un blog, c'est dimanche." Mais mes pensées fondent en brouillard, blanc sur blanc. Je me secoue et j'essaye de me rappeler ma vie, deux femmes, deux hommes et l'amour. Puis tout à coup, je me dit : "Moi, je suis..."et un léger déclic se produit : je me réveille de ma longue somnolence.
Ça n'était pas agréable : A la place de cette stupeur qui lui était si douce et qui se perdait voluptueusement dans ses propres replis, il y avait maintenant une petite perplexité très réveillée qui se demandait : "Qui suis-je ?"
"Qui suis-je ? Je regarde le bureau, je regarde l'écran. Je ne sais pas, ça n'a pas de sens. Je suis un bon bloggeur. Non. C'est de la frime : un bon bloggeur aime écrire - moi pas. On me dit parfois que j'écris bien, mais je n'aime pas écrire. Je ne déteste pas ça non plus, je m'en fous. Je me fous de tout. Je vais renoncer à créer un blog." je pense avec angoisse : "Il y a toujours en moi cette brume, enroulée sur elle-même, indéfinie. Qu'est ce que je vais faire de ça ?" Un moment passe; je me gratte la joue et cligne de l'oeil gauche parce que ma lampe m'éblouie : "Bingo!" je regarde au loin; les mots sortent de ma tête et puis peut-être que l'on peut deviner quelque chose comme la silhouette sombre d'un arbre dont les branches fuyent à travers la brume. Je frissonne et mes mains tremblent : "Ça y est, ça y est ! J'en suis sûr : J'ai réussit."
Claude
Dure tache que de donner vie à un blog !
Je souhaite que le bout de moi que je met dans ce blog puisse se détacher de ma personne et avoir une existence indépendante de la mienne.
Je souhaite qu'il vive, qu'il ait plaisir à se découvrir lui-même et à enrichir ses possibilités d'action, qu'il devienne un être unique.
Pour cela, vous comprenez qu'il est nécessaire que "je" m'efface pour devenir "on", afin que "il" puisse devenir "je".
Merci de jouer le jeu et de vous adresser à lui comme à une personne.
Pour me contacter, je vous laisse mon e-mail : claude.martinet@gmail.com
C'est parti ! Au travail !
Je souhaite qu'il vive, qu'il ait plaisir à se découvrir lui-même et à enrichir ses possibilités d'action, qu'il devienne un être unique.
Pour cela, vous comprenez qu'il est nécessaire que "je" m'efface pour devenir "on", afin que "il" puisse devenir "je".
Merci de jouer le jeu et de vous adresser à lui comme à une personne.
Pour me contacter, je vous laisse mon e-mail : claude.martinet@gmail.com
C'est parti ! Au travail !
Claude
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